Troubles

PROVINS Jennifer

208 pages
Autoédition (2013)
Prix : 12,50 € ICI

« Folie meurtrière. »

Tels étaient les deux mots clamés haut et fort par le juge ce jour-là. J'étais coupable d'un meurtre, lui-même altéré par ma folie. Ainsi je n'avais pas ma place en prison, mais en asile. Pourtant, la folle dans cette histoire, la véritable criminelle, ce n'était pas moi, mais Carla.

L'auteure se livre pour nous.

Qui est Jennifer ? Jennifer est une jeune femme âgée de 21 ans ayant écourté ses études en Chimie. Passionnée par la littérature, la photographie et les animaux, elle hésite à entamer un cursus afin de devenir toiletteuse ou libraire. Elle possède un magnifique perroquet nommé Yuuhi qui, à défaut de parler, fait des bisous, imite la perceuse et cris son prénom. Elle possède également un sacré de Birmanie (chat) nommé Hatchoum, qui passe son temps à l'empêcher d'écrire en se blottissant dans ses bras.

Si tu devais décrire « Troubles », que dirais-tu ? 

Troubles, c'est mon bébé. Il a germé dans ma tête, grandit grâce aux lecteurs et aujourd'hui, après de nombreuses heures de douleur, le voila entre mes doigts ! Plus sérieusement, Troubles aujourd'hui, je le vois comme une fantastique aventure humaine. Soixante-quatorze personnes ont prit la peine de miser de l'argent sur lui afin de le financer. C'est grâce à cet argent que mon rêve se concrétise aujourd'hui.
Pour parler maintenant du contenu : C'est l'histoire d'une jeune femme accusée à tord d'un meurtre qu'elle n'a pas commit. Etant donné la gravité de ce crime, elle est envoyé dans un hôpital psychiatrique où elle rencontrera des bons et des moins gentils détenus. On la pense parfaitement normale, pourtant, au fond d'elle se dissimule une petite voix, une voix terriblement envoûtante nommée Carla.

Comment t'es venu l'idée d'écrire ce livre? Bonne question ! J'étais dans mon lit, un soir d'insomnie. J'étais déprimée parce que je n'arrivais plus à écrire un ancienne fiction. Mon esprit s'est évadé et j'ai imaginé Clara et Carla, la meurtre qu'elles avaient commis. J'ai réfléchis plus loin et j'ai eu l'idée de l'asile. Du coup, j'ai ouvert mon ordinateur, j'ai écrit et Troubles était né.

Pourquoi avoir choisi MyMajorCompany pour financer ton livre ? Quand j'ai inscris Troubles sur MMC, je n'imaginais absolument pas qu'il serait validé. MymajorcompanyBOOK avait disparu et nous étions de nombreux auteurs à être déçus. J'ai voulu prouver quelque chose en inscrivant mon roman, je ne sais pas vraiment quoi. Mais l'une des gérantes du site a été emportée par ma page et a tout fait pour que mon projet soit mit en ligne rapidement. J'ai joué le jeu, en me disant que de toute façon, Troubles n'atteindrait pas la jauge des 5000 euros. Mais j'ai eu tord, en très peu de temps, j'ai récolté tout l'argent nécessaire et même plus ! Je ne pensais pas que la générosité pouvait encore exister, surtout à ce point ! C'était vraiment une belle expérience. Grâce à elle, j'ai prit confiance en moi, en tant qu'auteur, mais surtout en tant que personne. Je vaux peut-être quelque chose finalement.

Quels sont tes projets dans l'avenir concernant l'écriture? Alors, j'ai pour un loup, un fantasy tout mignon qui est en cours de rédaction. J'en suis à 7 chapitres et loin de la fin ! Après, j'ai une histoire de clans, d'anges et de démons en tête, celle-là est beaucoup moins gentille ! Et enfin, j'ai une autre histoire en tête, un fantasy encore, où le rôle principal est joué par une petite fille.

Un dédicace spéciale à faire passer ? J'aimerai faire des poutoux à Tiphs qui a fait ma couverture, à Pauline qui a posé pour le roman. Sinon, merci à pleins de mondes qui ne passera jamais par ici... (sauf peut-être ma Steph)

Et pour finir,un petit portrait chinois...Si tu étais une série télé, tu serais Docteur House
Si tu étais une espèce menacée , tu serais un pandaaaa !
Si tu étais un livre, tu serais Twist
Si tu étais un parfum de glace, tu serais la mangue
Si tu étais une saison, tu serais le printemps <3

Extrait

« Parfois, les apparences pouvaient être trompeuses, mais pas cette fois-ci. L'extérieur représentait à merveille l'intérieur de cet hôpital. Les murs peints s'écaillaient, des pierres avaient été arrachées des coins, les portes en bois étaient grattées par les résidents et des taches aux origines inconnues décoraient le plafond. La porte était fermée derrière moi, l'homme m'entrainait dans les couloirs de cet enfer. J'étais un peu plus effrayée à chaque nouveau pas effectué. Dans quel enfer m'avait-on emmenée ? »

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