Le Mag
RENDEZ-VOUS DU MERCREDI.
Sorties de la semaine, coups de coeur littéraires de blogueuses, programme de parutions des Éditions Hachette, nouvelle maison d'édition, devinette ....
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LES ATTENDUS DE LA SEMAINE
LES IMMANQUABLES
PROGRAMME DE SORTIES
NOUVEAUTÉ
Une toute nouvelle maison d'édition a vu le jour avec une ligne éditoriale originale. "Si tu en as marre des héroïnes en mode vierge effarouchée, soumises et sans saveur, tu es au bon endroit".
Avec son premier titre Bora-Bora's Bitches de Jacinthe Nitouche, EdiBitch nous promet de "révéler la garde qui est en toi".
Extrait
J’y suis ! Olga m’attend. Je l’ai surnommée comme ça à notre première rencontre à cause de son physique aussi avenant qu’une ancienne nageuse de l’Est.
— Vous êtes en retard, Mlle Nitouche !
Elle me dépasse d’une tête et de six paires d’épaules. Je sens que je vais prendre cher de la touffe.
Je m’installe.
Comme tous les mois, je viens me faire épiler le maillot, un joli nom pour ne pas dire la chatte. Je ne veux pas prendre le risque qu’une broussaille sorte au moment où j’écarte un peu trop les cuisses, ça ferait mauvais genre !
Je serre les miches tellement j’ai mal et là, la Olga ose me demander :
— Vous n’avez jamais eu envie, Mlle Nitouche, de vous faire l’intégrale? Les lèvres au moins, ça ferait plus propre.
Dans ma tête, je me suis demandé si elle travaillait pour la propreté urbaine cette poufiasse. Plus propre, plus propre ! Je t’en foutrais ! Parce que là, tu vois, je suis limite en train de me retenir de ne pas te frapper tellement je souffre, alors si tu touches à mes lèvres je pense que moi je t’épile avec les dents.
Ça aurait été tellement plus simple que je réponde ça, mais non, je n’ai pas pu m’empêcher de dire :
— Pourquoi pas ? J’ai toujours voulu tester !
Nan mais franchement, Jaja ! Tu ne peux pas fermer ta grande bouche des fois ?
Ni une ni deux, me voilà, culotte baissée, en train de me faire tripoter les limites de ma vulve.
Je passe les détails sur la douleur, mais t’as quand même l’impression que lorsqu’elle te met la cire, elle va désintégrer ton minou dans la seconde.
Alors je me vois prier, intérieurement parlant : Prions pour ma foufoune, vous pauvres pécheurs, Dieu de la touffe, s’il te plaît, épargne-la !
Et c’est là, alors que je l’avais un peu oubliée qu’elle me sort :
— Vous savez, plus je vais retirer vos poils, moins vous allez sentir ! Votre peau va être comme anesthésiée.
Jaja ! Jaja, ne lui fais pas mal ! Elle a une partie intime qui t’appartient entre ses mains, ne fais pas de connerie ! Je me contente donc de sourire bêtement. J’essaie même de me détendre quand tout à coup elle me dit :
— Je vous enlève tout le dessus ?
Non mais t’es gentille, j’ai quand même envie qu’on fasse la différence avec une gamine de huit ans alors tu me laisses le peu qu’il me reste.
Ok ? Tueuse de fouffe va !
— Vous pouvez regarder, le devant est fini.
Et là, surprise ! Je ne me suis pas reconnue, c’est comme si je regardais une étrangère, je n’avais jamais vu ma chatte à nu comme ça. « Bonjour toi, tu n’as pas froid ? Tu le vis bien ce côté naturiste ? »
Ma catcheuse professionnelle profite de ces quelques moments d’émotion de pure intensité pour me porter le coup de grâce :
— Bon, retournez-vous ! On fait les fesses maintenant.
Après m’avoir ébouriffé la frisée en apéro, voilà qu’elle me retourne comme une crêpe pour me faire la poêlée campagnarde.
Heu, là, tout de suite ? Pourquoi pas, allons-y ! Ça serait dommage d’avoir une peau de bébé sur le devant et d’avoir des poils au cul.
Et là, ni une ni deux, je me retrouve les fesses écartées et je l’entends me demander :
— Vous n’êtes pas pudique au moins ?
Heu, si j’étais pudique, je pense que je me serais planté ta spatule dans le coeur une dizaine de fois, tu vois ?
En tout cas, nota bene en passant, aucune douleur sur les poils du cul les filles, si ça ce n’est pas une bonne nouvelle ?!
— Vous êtes en retard, Mlle Nitouche !
Elle me dépasse d’une tête et de six paires d’épaules. Je sens que je vais prendre cher de la touffe.
Je m’installe.
Comme tous les mois, je viens me faire épiler le maillot, un joli nom pour ne pas dire la chatte. Je ne veux pas prendre le risque qu’une broussaille sorte au moment où j’écarte un peu trop les cuisses, ça ferait mauvais genre !
Je serre les miches tellement j’ai mal et là, la Olga ose me demander :
— Vous n’avez jamais eu envie, Mlle Nitouche, de vous faire l’intégrale? Les lèvres au moins, ça ferait plus propre.
Dans ma tête, je me suis demandé si elle travaillait pour la propreté urbaine cette poufiasse. Plus propre, plus propre ! Je t’en foutrais ! Parce que là, tu vois, je suis limite en train de me retenir de ne pas te frapper tellement je souffre, alors si tu touches à mes lèvres je pense que moi je t’épile avec les dents.
Ça aurait été tellement plus simple que je réponde ça, mais non, je n’ai pas pu m’empêcher de dire :
— Pourquoi pas ? J’ai toujours voulu tester !
Nan mais franchement, Jaja ! Tu ne peux pas fermer ta grande bouche des fois ?
Ni une ni deux, me voilà, culotte baissée, en train de me faire tripoter les limites de ma vulve.
Je passe les détails sur la douleur, mais t’as quand même l’impression que lorsqu’elle te met la cire, elle va désintégrer ton minou dans la seconde.
Alors je me vois prier, intérieurement parlant : Prions pour ma foufoune, vous pauvres pécheurs, Dieu de la touffe, s’il te plaît, épargne-la !
Et c’est là, alors que je l’avais un peu oubliée qu’elle me sort :
— Vous savez, plus je vais retirer vos poils, moins vous allez sentir ! Votre peau va être comme anesthésiée.
Jaja ! Jaja, ne lui fais pas mal ! Elle a une partie intime qui t’appartient entre ses mains, ne fais pas de connerie ! Je me contente donc de sourire bêtement. J’essaie même de me détendre quand tout à coup elle me dit :
— Je vous enlève tout le dessus ?
Non mais t’es gentille, j’ai quand même envie qu’on fasse la différence avec une gamine de huit ans alors tu me laisses le peu qu’il me reste.
Ok ? Tueuse de fouffe va !
— Vous pouvez regarder, le devant est fini.
Et là, surprise ! Je ne me suis pas reconnue, c’est comme si je regardais une étrangère, je n’avais jamais vu ma chatte à nu comme ça. « Bonjour toi, tu n’as pas froid ? Tu le vis bien ce côté naturiste ? »
Ma catcheuse professionnelle profite de ces quelques moments d’émotion de pure intensité pour me porter le coup de grâce :
— Bon, retournez-vous ! On fait les fesses maintenant.
Après m’avoir ébouriffé la frisée en apéro, voilà qu’elle me retourne comme une crêpe pour me faire la poêlée campagnarde.
Heu, là, tout de suite ? Pourquoi pas, allons-y ! Ça serait dommage d’avoir une peau de bébé sur le devant et d’avoir des poils au cul.
Et là, ni une ni deux, je me retrouve les fesses écartées et je l’entends me demander :
— Vous n’êtes pas pudique au moins ?
Heu, si j’étais pudique, je pense que je me serais planté ta spatule dans le coeur une dizaine de fois, tu vois ?
En tout cas, nota bene en passant, aucune douleur sur les poils du cul les filles, si ça ce n’est pas une bonne nouvelle ?!
RIEN QUE POUR LA COUVERTURE !
Dans le comté de Berkeley en Caroline du Sud au milieu de l’année 1820, Angelique Beckett va faire une rencontre qui va bouleverser sa vie et celle de sa famille. L’indomptable demoiselle, habituée à la liberté campagnarde découvre qu’il existe d’autres mondes que le sien.
La riche et noble famille britannique des Darcy de Hasbury fait une entrée fracassante dans son existence et, surtout, dans son coeur.
Elle, qui a un lourd passé, va interpeller les nouveaux arrivants et, chacun à leur manière, ils vont lui montrer qu’elle est plus que ce qu’elle paraît être… et qu’elle a aussi droit au bonheur. Son présent et son avenir se jouent alors, pour le meilleur ou pour le pire ?
La riche et noble famille britannique des Darcy de Hasbury fait une entrée fracassante dans son existence et, surtout, dans son coeur.
Elle, qui a un lourd passé, va interpeller les nouveaux arrivants et, chacun à leur manière, ils vont lui montrer qu’elle est plus que ce qu’elle paraît être… et qu’elle a aussi droit au bonheur. Son présent et son avenir se jouent alors, pour le meilleur ou pour le pire ?
A DÉCOUVRIR
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DEVINETTE
Originaire de Lille, je suis fan de Tolkien, Ilona Andrews et de Laurell K. Hamilton. Réalisatrice de documentaires et de reportages, je décide de prendre un pseudonyme pour écrire ma saga en 2011, publiée
chez J'ai lu, dans la collection Darklight. En 2013, je fus la marraine de l'An 2 des Halliennales. Qui suis-je?
Auteur à trouver: Joanne Kathleen Rowling
Vous voulez apparaître au prochain numéro dans les coups de coeur,
faites le moi savoir.
bora bora bitch me tente beaucoup aussi etla couverture valentina waouhh meridien (il me semble que c'est encore elle) fait tu beau taff
RépondreSupprimerJe m'y retrouve un peu plus dans ce magazine.
RépondreSupprimerTout d'abord, la nouvelle maison d'édition que tu nous fait découvrir à l'air sympathique.
Concernant la couverture des éditions Valentina est vraiment magnifique.
Et pour finir, je file voir de ce pas l'interview de Sire Cédric qui est un auteur que j'adore, qui me fascine à mort !! J'espère vraiment faire sa rencontre un jour :D
Bonnes lectures, à bientot !!
Beaucoup de bons livres !
RépondreSupprimer"La pire mission de ma vie" a reçu quelques avis mitigés.